- Conseil 1 : aussi peu que possible, autant que nécessaire
- Conseil 2 : Répartir le poids de manière égale
- Conseil 3 : Beaucoup de sacoches, beaucoup d'avantages
- Conseil 4 : Prévoir une poche d'hydratation plutôt que des bouteilles sur le cadre
- Conseil 5 : éviter les sacs à dos lourds
- Les principales règles de base du bikepacking
- Liste de colisage : Ce qui est obligatoire, ce qui ne l'est pas ?
Aussi peu que possible, autant que nécessaire. C'est le credo du bikepacking. Pose-toi toujours la question : qu'est-ce que je peux laisser tomber en cas de besoin ? Quel équipement permet de gagner de la place et du poids ?
La question "Que faut-il emporter ?" dépend essentiellement de la longueur du voyage. Certes, il est plus amusant de rouler à vélo dans la nature sans tente, sans équipement de cuisine et sans toutes les provisions. Mais cela limite aussi considérablement la flexibilité dans le choix de l'itinéraire et de sa longueur. Une mini-tente, dans laquelle le vélo devient en même temps l'armature de la tente, peut aider, comme le "Bikecamper" de Topeak. Cela permet non seulement d'économiser jusqu'à 1,5 kilo de bagages, mais constitue également une protection efficace contre le vol de son propre vélo la nuit.
L'emplacement des bagages sur le vélo a un impact direct sur la qualité de la conduite. De nombreux vélos de gravel disposent par exemple d'œillets ou de filets pour un porte-vélos arrière. Des sacoches plus petites et réparties tout autour du vélo préservent toutefois la répartition du poids, importante pour le tout-terrain, et soulagent le cadre.
Des fabricants comme Ortlieb, lauréat de l'ISPO Award, proposent en outre des sacoches compactes pour la selle, le cadre, le guidon et la fourche, avec un encombrement étonnamment faible.
Sur les Gravelbikes, il y a parfois des passages à porter, le poids du vélo repose alors sur un rembourrage souple sur toute la longueur. L'important ici est d'enfoncer profondément tout ce qui est lourd dans la sacoche. Ils évitent ainsi les mouvements de balancier et de bascule importants.
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La gourde sur le cadre est un grand classique. Il existe pourtant de bien meilleures solutions : D'une part, les bidons sur le cadre empêchent de porter facilement le vélo sur l'épaule, d'autre part, sur le terrain, il faut des bidons spéciaux avec des valves d'hydratation protégées. Pour le bikepacking, les petits sacs à dos d'hydratation ou les "gilets d'hydratation", tels que les portent les coureurs de trail, sont préférables aux bidons fixés au cadre.
Une vessie d'hydratation de 1,5 litre avec son tuyau sur le dos, deux softflasks et une multitude de petites poches faciles d'accès autour du torse maintiennent les boissons, les barres, les outils ou l'électronique près du corps. Ils sont moins secoués, peuvent difficilement geler en hiver et sont toujours facilement accessibles. Autre point positif : les sacoches de vélo peuvent rester fermées en "terrain libre". Le contenu reste sec et propre.
Même s'il est tentant de ranger simplement les bagages les plus lourds dans un sac à dos sur le dos, cela n'est pas pratique pour les longs voyages à vélo. En effet, les sacs à dos lourds modifient tellement la position sur le vélo que des problèmes musculaires apparaissent rapidement, même si le sac à dos est agréable à porter.
De plus, les sacs à dos lourds peuvent limiter la mobilité. Pour les sections rapides, ils empêchent en outre l'aérodynamisme, car ils rendent impossible une position très penchée. De plus, le dos ne bénéficie guère d'aération lors d'une course avec sac à dos.
Les sacs à dos ultralégers sans armature de portage peuvent constituer un bon compromis dans ce cas.
Il n'existe pas de méthode unique pour charger un gravel bike. Quelques règles de base permettent toutefois d'éviter les mauvaises surprises en cours de route :
- Règle numéro un : la position assise et le mouvement de pédalage ne doivent pas être modifiés pour les bagages. Si quelque chose se trouve sur le chemin, il doit céder la place au cycliste.
- Ne pas fixer plus d'un tiers des bagages au guidon et à la fourche afin de ne pas gêner le pilotage.
- Charger le plus bas possible afin de conserver un centre de gravité dynamique.
- Contrôler brièvement la fixation avant chaque départ. Si l'on a retiré quelque chose d'un sac, celui-ci peut être plus instable et empiéter sur les rayons, les freins ou la manivelle.
- Plus un objet est lourd, plus il doit être fixé près du centre de la roue. Même à l'intérieur d'un sac, il est important d'emballer les objets massifs vers le centre.
- Attention à la largeur. Les routes de gravel peuvent passer par des passages étroits de rochers ou de broussailles, les sacoches ne devraient pas être plus larges que le guidon.
- Attention aux sacoches de guidon sur les vélos de gravel : si la sacoche est trop large ou n'est pas bien arrimée, les bouts des doigts peuvent être écrasés ou les leviers de frein bloqués.
Plus les différents objets sont variables, moins il faut en emporter. Des manchons et des jambières, ainsi qu'une veste de pluie à manches amovibles font d'un jeu de maillots une tenue universelle.
Voici l'équipement auquel tu dois penser lorsque tu fais du bikepacking :
- des vêtements pour toutes les conditions probables
- outils et matériel de réparation, en particulier pour les pneus et la chaîne
- petits pansements et, pour les longues randonnées, crème pour les fesses et protection solaire
- articles de toilette compacts comme une serviette en microfibre
- éclairage (de secours) et ou vêtements réfléchissants, au cas où l'emploi du temps serait perturbé.
- un porte-monnaie, de préférence étanche ou dans un sac à fermeture éclair, avec une pièce d'identité, un contact en cas d'urgence, une carte de paiement, de l'argent liquide selon la région et des pièces de monnaie, par exemple pour les distributeurs automatiques ou le (auto)lavage.
- Pour l'entretien du vélo, il suffit d'une vieille brosse à dents et de lubrifiant sec (il absorbe moins de sable que l'huile).
- Pour les randonnées de plusieurs jours, une tente de bikepacking ne doit pas manquer.
- Attention : les gravelbikes possèdent souvent des "tubeless", qui nécessitent des pompes spéciales ! Il est également utile d'avoir un adaptateur de valve sclaverand à valve auto pour pouvoir faire le plein dans les stations-service.
Des gadgets utiles :
- Multitool avec outils de vélo
- serre-câbles / scotch
- Powerbank avec câble
- Gants longs pour se protéger des broussailles et du contact avec le sol
- Lunettes de soleil avec verres interchangeables
- 2 - 4 sangles d'arrimage légères
- Antivol pour vélo (en fonction de l'hébergement)
- Mini-boissons solubles dans l'eau, s'il n'y a "que" de l'eau en route
- Barres de secours ou gels contre les coups de faim
- Une carte avec un itinéraire approximatif en cas de panne de la navigation électrique
- Un sifflet pour les cas d'urgence dans les endroits isolés
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